Situation de la pollution aux PFAS en province de Hainaut analysée

En réponse aux inquiétudes sur la pollution par les PFAS en Wallonie, un plan d'action d'urgence a été lancé par les autorités régionales. Un monitoring des zones de distribution d'eau potable est réalisé et des prélèvements sanguins sont effectués dans les zones où le taux de PFAS dépasse la norme. L'Institut Scientifique de Service Public (ISSeP) est chargé de ce suivi pour évaluer l'impact de ces polluants sur la population.
Situation de la pollution aux PFAS en province de Hainaut analysée

Etat d’urgence face à la pollution par les PFAS

En réponse aux inquiétudes suscitées par le reportage de la RTBF sur la pollution par les PFAS (substances perfluoroalkylées) dans l’eau et l’environnement, les autorités régionales ont lancé un plan d’action d’urgence. Une des mesures prises a été la mise en place d’un monitoring accéléré dans toutes les zones de distribution régionale. En parallèle, des prélèvements sanguins sont actuellement réalisés dans les zones où le taux de PFAS dépasse la norme de 100 ng/l.

Suivi assuré malgré les contaminations

En attendant les résultats finaux de ces enquêtes, des solutions provisoires ont été mises en place pour ne pas dépasser la norme établie, permettant ainsi aux habitants d’accéder à nouveau à l’eau potable.

Opérations en cours pour évaluer les impacts

Actuellement, l’Institut Scientifique de Service Public (ISSeP) est chargé d’organiser une campagne de prélèvements et de analyses sanguines. Le but est de comparer les taux d’imprégnation dans le sang par rapport aux valeurs de référence, afin de déterminer si les niveaux de PFAS sont supérieurs à la moyenne wallonne.

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