Relaxation des militants écologistes de la pollution PFAS : le procès d’Arkema

Des militants écologistes ont mené une action sur le site d'Arkema pour dénoncer la pollution par les PFAS, conduisant à un procès très médiatisé. Ils ont été relaxés, transformant leur procès en tribune contre la pollution. Daikin annonce un recours contre la suspension de ses activités à Lyon suite à cette affaire.
Relaxation des militants écologistes de la pollution PFAS : le procès d’Arkema

Action éco-militante chez Arkema

Le 2 mars dernier, une action éco-militante orchestrée par les mouvements Extinction Rebellion et Youth for Climate a conduit plusieurs centaines de défenseurs de l’environnement à s’introduire dans les locaux d’Arkema, géant de l’industrie chimique, situés à Pierre-Bénite. Cette opération faisait écho aux investigations, parues deux ans auparavant, sur le scandale de la pollution aux PFAS.

Poursuite judiciaire

Le 18 juin, huit des activistes âgés de 23 à 43 ans étaient appelés devant le tribunal correctionnel de Lyon, afin de répondre de leur participation à cette action. Leurs objectifs étaient clairs : attirer l’attention sur les dangers environnementaux et la pollution aux PFAS. Ils avaient d’ailleurs affiché une grande banderole avec le mot poison et une tête de mort depuis le sommet de la tour la plus haute du site.

Support médiatique

À la suite de cette action et du procès qui s’en est suivi, plusieurs points importants liés à la pollution aux PFAS ont été relayés dans les médias. Mentionnons ici l’annonce de Daikin qui envisage un recours contre la suspension d’une partie de ses activités au sud de Lyon, mais aussi la suspension de l’extension de cette entreprise par le tribunal administratif pour se concentrer sur les PFAS, ces polluants éternels.

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