Risque accru pour 28% des habitants de Chièvres
Les échantillons de sang prélevés en janvier sur les résidents de Chièvres, en Wallonie, ont révélé que 28% de la population présente un risque accru dû à une contamination aux PFAS. Les PFAS, des substances perfluoroalkylées, sont particulièrement préoccupantes car ces polluants persistants ont été détectés dans l’eau du réseau de distribution en quantité élevée.
L’origine du scandale : des mousses anti-incendie
La source de cette pollution provient de mousses anti-incendie utilisées dans une base militaire locale. Ces substances toxiques s’accumulent dans le corps humain et peuvent causer plusieurs problèmes de santé. Suite à la révélation du scandale en novembre 2023, la Région wallonne a entrepris un suivi sanitaire des habitants exposés et identifié les individus présentant un risque accru.
Des examens supplémentaires nécessaires
Des examens médicaux supplémentaires sont recommandés pour ces personnes, afin de détecter d’éventuels problèmes de santé. En outre,les autorités encouragent ces habitants à consulter leur médecin pour un suivi personnalisé.
Le rôle de l’ISSEP et les questionnements autour de la communication
L’Institut scientifique de service public (ISSEP) travaille à interpréter les résultats et à proposer des recommandations sanitaires. Malgré une amélioration de la qualité de l’eau, la gestion de la crise par les autorités et le manque de transparence ont été critiqués.
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